L’usage des données pour la transition écologique des villes se multiplie. De l’implantation d’infrastructures d’énergies renouvelables à l’adaptation des itinéraires piétons en cas de fortes chaleurs, en passant par l’anticipation des périodes de stress hydrique, les données jouent un rôle de plus en plus important dans notre lutte contre le changement climatique.
L’usage des données pour la transition écologique des villes se multiplie. De l’implantation d’infrastructures d’énergies renouvelables à l’adaptation des itinéraires piétons en cas de fortes chaleurs, en passant par l’anticipation des périodes de stress hydrique, les données jouent un role de plus en plus important dans notre lutte contre le changement climatique.
« Un prototype sera présenté début décembre », confirme Stéphanie Morland, directrice des services techniques.
La communauté d’agglomération Paris-Saclay, qui abrite près de 15 % de la recherche française, se pose ainsi la question de comment favoriser le pilotage et l’impact d’actions telles que la mise en place d’un guichet unique pour encourager la rénovation énergétique des bâtiments, la décarbonation de projets et le déploiement de budgets verts. Pour répondre à ce défi, la CA travaille sur la constitution d’un référentiel de données ou d’indicateurs, qui viendrait alimenter le plan “climat” actuellement en cours de révision.
La prochaine étape pour la CA Paris-Saclay sera de mettre en place un service public local de la donnée, qui sera lancé en septembre. En attendant, un prototype de ce projet sera présenté début décembre. Un outil qui pourrait bien révolutionner la manière dont les villes gèrent leur transition écologique via l’exploitation des données.