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Pour leurs Assises nationales à Marseille du 13 au 14 juin, c’est une professionnelle du management que les Ateliers de pédagogie personnalisée ont demandé de les accompagner sur le chemin du changement. Pour ces acteurs de l’éducation permanente, une ligne de crête est à tenir entre respect des fondamentaux et réponse aux contraintes de l’hypermodernité. Cette année, le dessein est résolument tourné vers l’avenir, face aux nombreux défis que présente l’ère moderne.
À Compiègne, on peut voir comment la confrontation avec la modernité s’est déroulée ailleurs, au musée national de la voiture et du tourisme. Les visiteurs peuvent aujourd’hui découvrir la Jamais Contente, un véhicule électrique qui a atteint les 100 km/h en 1899, un record mondial de l’époque. Ces exploits étaient, cependant, rapidement supplantés par plus d’un siècle de domination des moteurs thermiques, montrant ainsi le rapport complexe de la société à l’innovation.
“Pour faire face à l’hypermodernité, il ne suffit pas simplement de suivre le mouvement, mais d’adopter une approche réfléchie et stratégique.”
Une autre histoire d’innovation nous vient de 1979, lorsque Philips et Grundig ont investi le marché de l’enregistrement vidéo sur cassette avec le standard V2000, qui surpassait ses concurrents Betamax et VHS en termes de qualité et de fonctionnalités. Pourtant, c’est ce dernier, jugé moins performant, qui l’a emporté. Ces exemples illustrent bien comment les développements technologiques ne sont pas la seule mesure du succès.
C’est dans ce contexte qu’Isabelle Barth, professeure et chercheuse en management, apporte son expertise aux Assises nationales des Ateliers de pédagogie personnalisée. L’équilibre à trouver entre tradition et modernité, entre éducation permanente et évolution de l’ère digitale, est au cœur de ses recherches. Son accompagnement stratégique est donc précieux pour naviguer dans ces eaux parfois turbulentes de l’hypermodernité.
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