Dans l’ombre de l’acronyme PFAS se dissimule une pollution généralisée et massive. Suite aux débats tendus dans l’hémicycle et à une année de navette parlementaire, une initiative législative présentée par le député Nicolas Thierry, écologiste de la Gironde, a finalement été approuvée le 20 février. “C’est une première victoire contre l’un des plus grands scandales sanitaires du 21ème siècle”, a conclu le député à la fin du vote.
Avec 231 voix en faveur et 51 contre, la proposition de loi a reçu un appui large. Les propositions d’amendement de la droite de l’hémicycle, notamment celles des LR et du RN, qui avaient pour objectif de retarder son adoption, ont été rejetées.
Une initiative législative qui vise à stopper à la source l’une des plus grandes pollutions de notre temps.
Rappelons que ces “polluants éternels” sont utilisés dans de nombreux secteurs en raison de leurs propriétés imperméables et antiadhésives. Selon le rapporteur, l’ensemble de la population française serait concernée par ce problème …
[La suite de l’article est réservée aux abonnés de la Gazette des Communes. Si vous n’êtes pas encore abonné, découvrez nos formules d’abonnement pour un accès illimité.]
