Le mercredi 16 octobre s’est tenue la traditionnelle séance de questions au gouvernement au Sénat. Le dossier de la possible cession de Doliprane par Sanofi est venu sur le tapis parmi les préoccupations évoquées. Le ministre de l’Économie, Antoine Armand, a saisi cette occasion pour réitérer son engagement à maintenir l’emploi en France concernant ce dossier.
Doliprane, la marque de paracétamol la plus célèbre de la pharmacie française, est un enjeu économique important tant pour Sanofi que pour le gouvernement. Sanofi, leader français de l’industrie pharmaceutique, envisage de céder sa division de Doliprane dans sa stratégie de réorganisation. Cependant, un tel choix pose la question de la pérennité des emplois dans cette division de l’entreprise..
Antoine Armand a tenu à rassurer les sénateurs ainsi que les salariés de Sanofi : “Notre priorité absolue est le maintien de l’emploi dans cette division de l’entreprise. Nous travaillons étroitement avec Sanofi pour garantir la pérennité de ces postes.”
Antoine Armand réaffirme son engagement à maintenir l’emploi dans le cadre de la possible cession de Doliprane par Sanofi.
Le ministre de l’Économie a également appelé à la transparence et à une communication ouverte avec les salariés de Sanofi et les acteurs sociaux. Il a insisté sur la nécessité de déployer tous les efforts nécessaires afin de préserver les emplois et de garantir le futur de la division Doliprane de Sanofi.
Si la cession de Doliprane se concrétise, le gouvernement a promis de veiller à ce que les intérêts des salariés soient protégés. Un engagement qui démontre la volonté du gouvernement d’agir en faveur de l’emploi et de garantir la stabilité du marché du travail en France.
