Quelle reconnaissance pour les micro-certifications ? (colloque FCU) – Centre Inffo

Generated with DALL·E 3

Au 49e colloque de la formation continue à l’Université (FCU), qui s’est déroulé du 19 au 21 juin à Tours, une question majeure a été posée : comment intégrer les micro-certifications dans le paysage de la formation continue en France ? Cette question est devenue particulièrement pertinente après l’apparition de cet outil de formation en France et l’adoption, en juin 2020, par le Conseil de l’Union européenne, d’une recommandation invitant à une approche européenne des micro-certifications pour l’apprentissage tout au long de la vie et l’employabilité.

Conçues pour être “pratiques”, les micro-certifications peuvent aider les salariés et les demandeurs d’emploi à faire face à un marché du travail en constante évolution, où l’employabilité doit constamment être renouvelée et mise à jour. Le défi est maintenant de savoir comment ces nouvelles qualifications peuvent être reconnues et intégrées dans le cadre de la formation continue des universités.

Les participants au colloque de la Formation Continue à l’Université ont débattu, pendant trois jours, de ces questions. Ils ont analysé le contexte socio-économique actuel, qui nécessite une employabilité en perpétuelle évolution, ainsi que les perspectives d’avenir de ces nouvelles formes de certification.

“La micro-certification émerge comme une réponse directe et pratique aux défis de l’employabilité de demain.”

Ils ont également discuté des meilleures façons de mettre en œuvre ces micro-certifications, afin qu’elles puissent être correctement reconnues par les institutions universitaires et les employeurs. De nombreuses idées et propositions ont été soulevées, mettant en évidence l’importance de cet enjeu pour l’avenir de l’éducation et de la formation en France. Les participants ont mis l’accent sur l’importance d’une coopération à l’échelle européenne pour garantir la reconnaissance et la validité de ces micro-certifications.

La question de la reconnaissance des micro-certifications reste complexe et ouverte. Elle nécessitera une réflexion et une action continues pour s’assurer qu’elle peut être intégrée de manière à améliorer la formation continue et l’employabilité des personnes sur le marché du travail.

Partagez cet article
article précédent

Femmes dans l’IA: Anika Collier Navaroli travaille à rééquilibrer le rapport de forces | TechCrunch

article suivant

La lettre de motivation est-elle encore utile ?

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Lire plus d'articles