“`html
Les soft skills, ou compétences douces, s’imposent désormais comme des éléments cruciaux dans les attentes en matière de management. Grâce à une infographie réalisée par Centre Inffo, s’appuyant sur les données de Todo Skills et Netlegis, Parlons RH met en lumière des chiffres qui parlent d’eux-mêmes. En 2025, les managers seront jugés non seulement sur leur capacité à gérer des équipes, mais surtout sur leur aptitude à écouter et résoudre des problèmes dans un environnement en constante évolution.
À cet égard, l’écoute active se démarque comme la compétence phare, plébiscitée par 92 % des répondants. En effet, un bon manager aujourd’hui n’est plus seulement celui qui sait se faire entendre, mais surtout celui qui sait prêter une oreille attentive à ses collaborateurs. Cela ne se limite pas à une simple lecture des attentes ou des besoins ; il s’agit d’une écoute active qui favorise la confiance et l’engagement au sein des équipes. Cette compétence se révèle particulièrement essentielle à chaque étape du parcours collaborateur, de l’onboarding à l’offboarding, garantissant non seulement une intégration réussie mais également une expérience employé positive et cohérente.
“Les soft skills ne sont plus un ‘plus’, ce sont des indispensables.”
En parallèle, la résolution de problèmes apparaît comme un critère tout aussi fondamental. Avec 69,8 % des réponses soulignant son importance, cette compétence montre un besoin pressant d’agilité intellectuelle pour naviguer dans un monde professionnel de plus en plus complexe. Les entreprises recherchent des talents capables non seulement d’analyser des situations difficiles, mais aussi d’y trouver des solutions concrètes. Dans un contexte où les imprévus sont la norme, le manager se doit d’être proactif et réactif, utilisant les retours du terrain pour éclairer ses décisions.
Cette tendance souligne surtout une évolution des relations humaines au sein des entreprises. La gestion des conflits, jugée essentielle par 62,7 % des répondants, illustre bien cette montée en puissance des soft skills. Les enjeux ne se limitent plus à des problèmes techniques ou opérationnels, mais incluent également des dimensions humaines et relationnelles. Les managers doivent donc apprendre à créer des espaces de dialogue constructifs, où écoutent et adaptent leur approche pour résoudre les tensions et les conflits.
En somme, le paysage managérial se transformera en profondeur d’ici 2025, avec une emphase accrue sur les compétences interpersonnelles. Les managers devront non seulement écouter activement, mais également être capables de résoudre des problèmes de manière collaborative, tout en gérant des relations humaines complexes. Le succès des entreprises reposera dorénavant sur cette nouvelle vision du management, centrée sur l’humain et l’agilité.
“`