Face au désir des partenaires sociaux d’estimer à juste titre les parcours syndicaux, le Centre d’études de l’emploi et du travail (CEET) a dévoilé les trois dispositifs prépondérants actuellement en place. L’institution met en lumière les objectifs affichés par ces dispositifs mais également les défis que ceux-ci rencontrent. Le Quotidien de la formation a gardé cet article en réserve à l’attention de ses abonnés.
La question qui se pose est : que faire après avoir été un permanent syndical ? L’étude récemment rendue publique par le CEET propose trois pistes de valorisation de l’expérience syndicale, avec une analyse détaillée de leurs avantages et de leurs faiblesses. Ces pistes, les partenaires sociaux se sont engagés à les négocier au mois de novembre, en parallèle de la signature d’accords sur l’emploi des seniors et l’assurance chômage.
Nicolas Simonpoli, responsable de l’étude et maître de conférences à l’Université Paris Nanterre, basera son analyse sur des cas particuliers de syndicalistes CGT, ainsi que sur des entretiens avec des formateurs.
L’auteur de l’étude, Nicolas Simonpoli, maître de conférences à l’Université Paris Nanterre, s’est basé sur des situations individuelles de syndicalistes CGT, et approfondi son étude grâce à des entretiens avec des formateurs. L’accent est mis sur le vécu réel des personnes concernées, ancrant l’étude dans une réalité concrète et complète.
Cet article, destiné aux abonnés du Quotidien de la formation, sera révélateur de ces parcours syndicaux fluctuants, complexes mais porteurs d’un potentiel de compétences encore méconnu. La valorisation de ces parcours est un enjeu majeur pour la représentation individuelle et collective des travailleurs. L’étude du CEET contribue à éclairer ce panorama.
