En 2025, un nouvel horizon se dessine pour les petites entreprises françaises. En effet, à partir de 2026, les primes de partage de la valeur seront exonérées de certaines cotisations pour les entreprises de moins de 50 salariés. C’est une nouvelle qui sonne comme une bouffée d’oxygène pour ces entreprises souvent structurées par de petits effectifs mais génératrices d’importantes valeurs commerciales et sociales.
L’année qui s’ouvre voit également poindre de nouvelles mesures en faveur de l’apprentissage. Des montants d’aides à l’apprentissage ont en effet été fixés pour 2025, renforçant ainsi la politique de soutien à la formation et à l’emploi des jeunes. L’apprentissage, voie royale vers l’insertion professionnelle, continue d’être un enjeu majeur pour dynamiser l’économie française et lutter contre le chômage des jeunes.
“Les mesures d’urgence mises en place par l’URSSAF permettent aux entreprises affectées par les intempéries de voir l’avenir avec plus de sérénité.”
Dans le contexte actuel marqué par la pandémie de Covid-19 et ses conséquences en termes de transformation du monde du travail, les remboursements de frais liés au télétravail ont également été précisés. En outre, une nouvelle rubrique sur l’épargne salariale a été ajoutée au BOSS, le portail d’information officiel de la sécurité sociale destiné aux employeurs. Ces outils augmentent la transparence et contribuent à une meilleure compréhension des dispositifs par les employeurs.
En ce qui concerne la protection des travailleurs, la liste des maladies professionnelles liées à l’amiante ouvrant droit à une allocation de cessation anticipée d’activité a été étendue. Une mesure qui vise à mieux prendre en compte les réalités des métiers exposés à l’amiante et à assurer une meilleure protection des travailleurs.
Enfin, des mesures d’urgence pour les entreprises affectées par les intempéries ont été mises en place par l’URSSAF. Une mesure d’exception pour permettre à ces entreprises de poursuivre leur activité malgré les aléas climatiques et assurer la pérennité de l’emploi dans ces zones sinistrées. Une veille sociale sous le signe d’un soutien renforcé aux entreprises françaises.